Max Rovira
Max Rovira est un artiste peintre Catalan, d'origine espagnole. Il a orienté ses tout premiers travaux dans le post-impressionnisme, pour ensuite tout en conservant de la rigueur picturale, se projeter dans une palette d'une inépuisable variété de reflets et de lumière et ainsi modifier une attitude à l'égard de la réalité.
Ses toiles se rapprochaient alors du cubisme avec une certaine nostalgie et une tristesse compensées par une gamme chromatique qui devient de plus en plus éclatante. Autodidacte, il se trouve un style personnel, inspiré des statues de l’île de pâques. Il adore faire surgir une thématique surprenante.
Sa peinture est puissante et généreuse, ses couleurs tantôt chaudes et froides dans un rythme effréné, nous laisse en aucun cas indifférent. Tout est architecturé et se positionne comme "une peinture de liberté".
Entre Port-Vendres et Collioure, Max Rovira a installé ses ateliers, sa galerie, son nid.
Exposée également à Toulouse, à Montauban, à Cognac, à Saint Paul de Vence, à Cannes et à Tokyo, son œuvre va au-delà des différentes grandes périodes picturales qui l’ont influencé. À la croisée de sa propre histoire et de l’actualité, il est depuis toujours ce voilier narguant les orages. Et si ses typhons intérieurs eurent coutume de se déchaîner par le passé, il retrouva son cap. Destination : des îles par centaines, sur lesquelles il laisse l’intime expression de ses colères, de ses souffrances, de ses espoirs de liberté. Comme autant de traces de pas laquées que ni la mer, ni le temps, ne pourront effacer. Car Max Rovira est faiseur, conteur et seigneur de la tempête. L’artiste de la tempête.
Ses toiles se rapprochaient alors du cubisme avec une certaine nostalgie et une tristesse compensées par une gamme chromatique qui devient de plus en plus éclatante. Autodidacte, il se trouve un style personnel, inspiré des statues de l’île de pâques. Il adore faire surgir une thématique surprenante.
Sa peinture est puissante et généreuse, ses couleurs tantôt chaudes et froides dans un rythme effréné, nous laisse en aucun cas indifférent. Tout est architecturé et se positionne comme "une peinture de liberté".
Entre Port-Vendres et Collioure, Max Rovira a installé ses ateliers, sa galerie, son nid.
Exposée également à Toulouse, à Montauban, à Cognac, à Saint Paul de Vence, à Cannes et à Tokyo, son œuvre va au-delà des différentes grandes périodes picturales qui l’ont influencé. À la croisée de sa propre histoire et de l’actualité, il est depuis toujours ce voilier narguant les orages. Et si ses typhons intérieurs eurent coutume de se déchaîner par le passé, il retrouva son cap. Destination : des îles par centaines, sur lesquelles il laisse l’intime expression de ses colères, de ses souffrances, de ses espoirs de liberté. Comme autant de traces de pas laquées que ni la mer, ni le temps, ne pourront effacer. Car Max Rovira est faiseur, conteur et seigneur de la tempête. L’artiste de la tempête.